RETOUR A LA PREMIERE PAGEDU CARNET

 

Un petit crocodile du Nil a trouvé l'endroit idéal pour se rafraichir tout en gardant sa témpérature dans ses exigences thermiques

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Un plus gros fait de même ! Il était complètement caché dans les plantes aquatiques, j'agite ma main dans l'eau pour qu'il se retourne: ça marche !il nous offre son plus beau sourire. Panique dans la pirogue  ";)" ":D"

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Au bout de trois quart d'heure de navigation tranquille , nous arrivons à une des îles qui sert de nichoir aux pélicans. Un spectacle saisissant, le bruit, l'agitation, l'odeur, font de cet endroit le point d'orgue de la visite. Là on se dit qu'on ne doit pas voir beaucoup d'endroits comme celui ci sur la planète, l'émotion nous transporte. La nature originelle, devait ressembler à cela.

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Un concentration de vie que nous n'avons jamais cotoyé, qui gonfle le coeur; devant nos yeux se donnent un spectacle le grand rituel de la vie sauvage sans contrainte, géré par l'homme certes mais sous protection. Il y a de l'espoir!!

 
 
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Jacana

 
 
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Les sternes indiquent le chemin

 
 
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Le grand cormoran décolle

 
 
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héron cendré

 
 
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Un vieux mâle phacochère solitaire s'approche du bord pour boire.

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Malgré tout le mal que s'est donné une pirogue pirate de l'hotel du Djoudj pour nous empêcher de le voir, elle ne reste que 30 secondes et repart,et nous pouvons à loisir observer le vieux mâle se désaltérer. Le piroguier villageois reste quasiment le temps que l'on veut et respecte un peu plus les distances de fuite des animaux.

Retour à l'embarcadère

 
 
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Notre charetier nous attends, les pythons sont rentrés, il fait trop chaud, le chemin du retour nous permet d'échanger nos impressions en bégayant sur les tressautements de la tole ondulée.
Nous avons bien aimé, beaucoup même cette rencontre avec la nature puissante du Djoudj. Même si l'on ne voit qu'une partie du parc, même si les pirogues sont nombreuses, on a un aperçu de la faune du coin et certains coin sont fabuleux et valent le déplacement tant les animaux sont concentrés sur les rives dans certains endroits du parcours.
Nous reviendrons demain matin, mais différemment, nous voulons voir les singes !!! Si seulement on pouvait se faire une grande balade tous les deux, marcher sur la terre cuite par le soleil du désert, libres d'aller ou l'on veut, nous ne savons pas si cela est possible à l'intérieur du Parc, sans doute que non sans être accompagnés... Nous ne savons pas encore comment élaborer notre petit trekk.
Mais en Afrique si les actions simples sont parfois laborieuses et inertes, certaines situations paraissant fortement compromises
se résolvent d'un coup de baguette magique, comme par enchantement...
De retour au village, au diner, nous rencontrons Germana, une chercheuse italienne qui depuis six ans étudie les poulations du coin et les coutûmes liées à la pharmacopée, les plantes utlisées par les guérisseurs. Nous passerons toute la soirée à échanger des infos, des impressions , des récits de voyage, très tard après plusieurs gazelles nous irons nous coucher dans nos cases surchauffées. Nous avons oublié de parler à Cheikh de notre petit projet du lendemain.
Tant pis, il est minuit et il doit encore fermer le réfectoire derrière nous, puis rentrer à vélo retrouver ses enfants et sa femme à son village, avant de revenir à 5 h du mat'!!
Nous verrons demain matin. Nous nous endormons la tête pleines de plumes, des becs abyssaux, d'ailes aux envergures gigantesques et de cris rauques, ils doivent bien dormir eux aussi les pélicans blancs du Djoudj !!